
Puis vint la couleur
Dans les années qui suivirent je revenais régulièrement voir, contempler et photographier mes amis les Faux.
Travaillant à l’époque pour la presse magazine je devais les aborder avec un regard qui prenait en compte la couleur.
Donc bien entendu il fallait les côtoyer du printemps à l’hiver. L’été étant la moins intéressante des saisons puisque les dômes, les parasols formés par les branches cachent toute la structure tortueuse, passionnante des Faux.
Autre problème à résoudre : la lumière, la...
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